Sans élaborer de système nouveau, elle souhaite faire de la philosophie une manière de vivre, non pour acquérir des connaissances, mais pour être dans la vérité.
Dès 1931, elle enseigne la philosophie et s'intéresse aux courants marxistes antistaliniens.
Elle est l'une des rares philosophes à avoir partagé la « condition ouvrière ».
Successivement militante syndicale, proche ou sympathisante des groupes révolutionnaires trotskystes et anarchistes et des formations d'extrême-gauche, mais sans toutefois adhérer à aucun parti politique, écrivant notamment dans les revues La Révolution prolétarienne et La Critique sociale.