Militant socialiste à partir de 1949, il est le candidat du Parti socialiste unifié à l'élection présidentielle de 1969 où il recueille 3,6 % des voix, puis est élu député des Yvelines.
Il rejoint le Parti socialiste (PS) en 1974 et fait figure de rival de François Mitterrand en se voulant le dirigeant d'une « deuxième gauche », réformiste et anticommuniste.