Pendant la Première Guerre mondiale, il ne peut rester sur le front pour des raisons de santé et se consacre alors à la littérature.
Ami de Marcel Proust, André Gide, Anatole France, Jacques Rivière, il commence sa carrière littéraire en 1920 en faisant publier La Vie inquiète de Jean Hermelin, à l'âge de 32 ans.
Il habite le parc de Maisons-Laffitte en 1921. Il y restera de juin à octobre au 2 avenue La Fayette dans Le Pavillon des Charmes.
Une plaque en marbre rappelle ce lieu aux promeneurs. Il publie Silbermann en 1922 aux éditions Gallimard qui obtient le prix Femina et sera traduit en dix langues.