André GIDE, sur ses pas

BIO EXPRESS

Après une jeunesse perturbée par le puritanisme de son milieu, jeune Parisien, où il se lie d'une amitié intense et tourmentée, avec Pierre Louÿs, il tente de s'intégrer au milieu littéraire post-symboliste et d'épouser sa cousine.

Une rencontre avec Oscar Wilde et un voyage initiatique avec Paul Albert Laurens le font rompre avec le protestantisme et vivre son homosexualité péderaste.

En savoir plus : André Gide

Etat civil

Né le 22 novembre 1869 à Paris (75), décédé le 19 février 1951 à Paris (75)

Profession

Rues de Paris

Ses lieux de vie en image

André Gide

2, rue de Tournon à Paris

1 bis, rue Vaneau à Paris

Son château à Cuverville

Sa sépulture

Crédits images

Photo 1 : Ottoline Morrell (1873-1938), domaine public - Photo 2 : Staroad - Photo 3 : Monceau from San Antonio — André Gide plaque, 1bis rue Vaneau, Paris 7 CC BY 2.0 - Photo 4 : Pymouss — CC BY-SA 4.0 - Photo 5 : Gaylussac8937, CC BY-SA 4.0

Ses adresses

Château de la Roque-Baignard, 14340 La Roque-Baignard

Itineraire

Résidence au château

10 Rue Des Grands Sables, 29360 Clohars-Carnoët, France

Itineraire

Demeure à la buvette de la plage au lieu-dit Le Pouldu

2 Place Edmond Rostand, 75006 Paris, France

Itineraire

Maison natale

2 Rue De Tournon, 75006 Paris, France

Itineraire

Enfance de 1875 à 1883 : Après l'animation de la rue de Médicis, la famille Gide déménage vers de nouveaux horizons : la rue Tournon, une adresse vibrante d'énergie. La chambre d’André s'ouvrait sur une vaste cour, imprégnée d'une atmosphère bouillonnante. À proximité, une pièce abritait ses projets insolites : l'élevage de cochons de Barbarie, une passion vivante et singulière. Ce lieu dynamique a également été témoin de moments plus graves. C'est ici que le destin a pris une tournure inattendue, où le père d'André a pris congé de ce monde en 1880, laissant derrière lui une empreinte indélébile.Puis, comme pour suivre le rythme effervescent de la vie, en mai 1883, la famille s'élança vers de nouveaux horizons, s'installant cette fois rue du Commaille, toujours ancrée dans l'ébullition parisienne.