le site et de faire vos recherches Auteur de plus de deux cents chansons — parmi lesquelles Chanson pour l'Auvergnat, La Mauvaise Réputation, Le Gorille, Les Amoureux des bancs publics, Les Copains d'abord, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, Les Trompettes de la renommée, etc. —,
il met également en musique des poèmes de François Villon, Victor Hugo, Paul Verlaine, Francis Jammes, Paul Fort, Antoine Pol, Théodore de Banville, ou encore Louis Aragon.
Il reçoit le Grand prix de poésie de l'Académie française en 1967.
Sa bio en 59 secondes et en vidéo
En savoir plus : Georges Brassens
Né le 22 octobre 1921 à Sète (34), décédé le 29 octobre 1981 à Saint-Gély du Fesc (34)
Maison natale : Sète : 54, rue de l’hospice (aujourd’hui rue Georges Brassens). Sa mère, Elvira Dragossa vient de donner naissance, en ce lundi 22 octobre, à celui qui deviendra un artiste reconnu, Georges Brassens. Son père, s’appelle, Louis, et il est maçon. Il est entouré de sa demi-sœur, Simone, issue du premier mariage de sa mère. Il se prénommera Georges Charles.
Dernière demeure : La maladie le ronge à petits feux… et malgré les opérations, qui lui accordent une rémission, il décéder, finalement, d’un cancer à 60 ans. C’est au petit matin du samedi 31 octobre qu’il est enterré dans le caveau familial du cimetière de Py à Sète. Son amour, Püppchen, le rejoindra en 1999.
Demeure de 1940 à 1943 : Alors qu’il quitte sa ville natale pour Paris, Georges Brassens s’installe dans une pension de famille, que possède sa tante, Antoinette Dragossa. C’est en 1943, réquisitionné par les allemands, qu’il quitte cet endroit, pour le service du travail obligatoire (STO).
Demeure de 1944 à 1966 : C’est au n° 7 impasse Florimont que Brassens trouve refuge ici en 1944 pendant la guerre chez Jeanne et Marcel Planche, un couple qu’il a connu par sa tante. Une histoire d’amour passionnée naît entre Georges et Jeanne, son aînée. Il y reste 22 ans, même après 1952, alors que le succès et la renommée sont présents. Le chanteur disait qu’il n’avait pas de chambre, mais 4 murs qui en faisait office.
Demeure de 1966 à 1968 : Jeanne, l’amie de sa tante, chez qui Georges Brassens s’était caché pour ne pas retourner au STO en Allemagne, se remarie. Il doit, alors, déménager de la rue Florimont et partir au 12e étage de cet immeuble. Il aura pour voisin, le célèbre chanteur, Jacques Brel.
Une attention particulière !
La plupart des demeures sont aujourd’hui des propriétés privées, il est indispensable d’en respecter les lieux et leurs propriétaires.