le site et de faire vos recherches Auteur de plus de deux cents chansons — parmi lesquelles Chanson pour l'Auvergnat, La Mauvaise Réputation, Le Gorille, Les Amoureux des bancs publics, Les Copains d'abord, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, Les Trompettes de la renommée, etc. —,
il met également en musique des poèmes de François Villon, Victor Hugo, Paul Verlaine, Francis Jammes, Paul Fort, Antoine Pol, Théodore de Banville, ou encore Louis Aragon.
En savoir plus : Georges Brassens
Né le 22 octobre 1921 à Sète (34), décédé le 29 octobre 1981 à Saint-Gély du Fesc (34)
Maison natale : Sète : 54, rue de l’hospice (aujourd’hui rue Georges Brassens). Sa mère, Elvira Dragossa vient de donner naissance, en ce lundi 22 octobre, à celui qui deviendra un artiste reconnu, Georges Brassens. Son père, s’appelle, Louis, et il est maçon. Il est entouré de sa demi-sœur, Simone, issue du premier mariage de sa mère. Il se prénommera Georges Charles.
Dernière demeure : La maladie le ronge à petits feux… et malgré les opérations, qui lui accordent une rémission, il décéder, finalement, d’un cancer à 60 ans. C’est au petit matin du samedi 31 octobre qu’il est enterré dans le caveau familial du cimetière de Py à Sète. Son amour, Püppchen, le rejoindra en 1999.
Demeure de 1940 à 1943 : Alors qu’il quitte sa ville natale pour Paris, Georges Brassens s’installe dans une pension de famille, que possède sa tante, Antoinette Dragossa. C’est en 1943, réquisitionné par les allemands, qu’il quitte cet endroit, pour le service du travail obligatoire (STO).
Demeure de 1944 à 1966 : C'est au numéro 7 de l'impasse Florimont que Brassens trouva son havre de paix en 1944, durant les sombres jours de la guerre, chez Jeanne et Marcel Planche. Ce couple, lié à lui par le biais de sa tante, devint bien plus qu'une simple rencontre. Une passion amoureuse s'épanouit entre Georges et Jeanne, une femme plus âgée que lui. Pendant vingt-deux ans, Brassens demeura dans cette demeure modeste, même après 1952, lorsque le succès et la renommée l'accompagnèrent. Il disait n'avoir pas de chambre, mais simplement quatre murs qui lui servaient d'abri. En ces murs modestes, il trouvait refuge et inspiration, y composant des mélodies intemporelles qui continuent de toucher les cœurs des générations à venir.
Demeure de 1966 à 1968 : Jeanne, l’amie de sa tante, chez qui Georges Brassens s’était caché pour ne pas retourner au STO en Allemagne, se remarie. Il doit, alors, déménager de la rue Florimont et partir au 12e étage de cet immeuble. Il aura pour voisin, le célèbre chanteur, Jacques Brel.