D’une culture forgée par la passion de l’art et de la musique (opéra, Michel-Ange, Scarlatti, Lully, Beethoven, amitié avec Richard Strauss) et le culte des héros, il chercha sa vie durant un moyen de communion entre les hommes.
Son exigence de justice le poussa à souhaiter la paix « au-dessus de la mêlée » pendant et après la Première Guerre mondiale.
Il est animé par un idéal humaniste et la quête d’un monde non violent, par son admiration pour Léon Tolstoï, grande figure de la non-violence, par les philosophies de l’Inde (conversations avec Rabindranath Tagore et Gandhi), l’enseignement de Râmakrishna et Vivekananda, par sa fascination pour ʿAbd-al-Bahā.
En savoir plus : Romain Rolland
Né le 29 janvier 1866 à Clamecy (58), décédé le 30 décembre 1944 à Vézelay (89)
Demeure : Après son divorce, Romain Rolland s’installe, dans un petit appartement, qu’il décrit comme une cage à poulets. Ici, il écrit, le roman, « Jean-Christophe » qui reçoit le prix Nobel de littérature en 1915. En 1913, il décide de déménager pour résider rue Boissonnade.