Ses premières ambitions sont littéraires et artistiques. Il participe à la revue anarchisante Les Actes des poètes, de Roger Dévigne, avec Albert-Jean, René Bizet et Monique, revue créée en décembre 1909, et comportant 12 numéros.
Il écrit en 1912 et 1913 un recueil de poèmes, La Visite du berger, et deux pièces de théâtre, jouées en province.
Avec L'Auréole, un poème consacré à la conversion du père de l'église saint Augustin, mis en musique par une vieille gloire musicale, Édouard Trémisot, il s'essaie également à l'opéra. Celui-ci sera joué à Nice en 1913.