Femme de convictions et marquée par l'horreur du premier conflit mondial, elle cherche à rapprocher la France et l'Allemagne pour des intérêts publics.
Après avoir collaboré au journal Le Radical sous le pseudonyme masculin Louis Lefranc, elle écrit jusqu'en 1934 dans la revue hebdomadaire L'Europe nouvelle — fondée avec le soutien financier du journaliste Hyacinthe Philouze, dont le premier numéro paraît le 12 janvier 1918 et le dernier en juin 1940.
Avec cet hebdomadaire, elle a pour ambition de fonder « une méthode et un instrument de travail pour une science de la paix ».