Défenseur du monde agricole, il met en place en 1892 des mesures protectionnistes pour les produits agricoles (tarif Méline).
Plusieurs fois ministre, il est président du Conseil de 1896 à 1898 et se présente sans succès à l’élection présidentielle de 1899.
Avocat à Paris sous le Second Empire, Jules Méline participe en 1861 à la fondation de l'hebdomadaire Le Travail avec le jeune Clemenceau ; ce nom est aussi celui de la loge maçonnique à laquelle il appartient.