Sa première période figurative est influencée par Paul Sérusier et les Nabis : « tout en l'affranchissant de la perspective traditionnelle, Sérusier lui enseigne la peinture par aplat et l'oriente vers une vue synthétique de la réalité ».
Il évoque lui-même sa rencontre avec César Domela en 1942 à la Galerie Jeanne Bucher comme étant « l'élément déterminant d'une renonciation à la figuration devenue inutie »