Il a été particulièrement marqué par l’épreuve des camps de prisonniers durant la seconde guerre mondiale, ce que l'on peut détecter à travers ses principaux recueils, Les Écrasés (1968), Je te dirai l’homme (1977), Psaumes pour la nuit qui vient (1993).
Prônant une poésie populaire, accessible à tous, il écrit des poèmes « à dire, à crier » mais aussi « à chanter, à jouer ».
Jean Dauby fut, jusqu'à sa mort, l’animateur du Centre Froissart qu’il fonde en 1967 ainsi que le rédacteur exigeant, au ton libre et personnel, de la revue poétique Froissart.