Très tôt, il s’est consacré à la peinture encouragé par sa mère qui était elle-même un peintre très brillant, une passion qu’elle n’a pratiquée que dans le cadre familial.
Entouré par sa famille lettrée et esthète (son frère Charles Lomont, officier de marine et collectionneur, écrira un roman non publié), il devient à Paris l’élève de Bouguereau et de Tony Robert-Fleury, tous deux professeurs à l’académie Julian.