Apprenti-tailleur, il est découvert par hasard dans un bal par le réalisateur Jean-Daniel Pollet.
Il devient l'acteur fétiche de ce dernier, qui lui confie dans plusieurs de ses films le rôle récurrent d'un homme lunaire et malchanceux nommé Léon : Pourvu qu'on ait l'ivresse... (1958), Gala (1961), Rue Saint-Denis (1965), L'amour c'est gai, l'amour c'est triste (1971), L' Acrobate (1976).
Il a été comparé à ses débuts à Buster Keaton du fait de sa gestuelle et d'une certaine ressemblance physique.