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BIO EXPRESS
Charles Baudelaire était un poète français né à Paris. Il a grandi dans une famille aisée mais a été marqué par la mort précoce de son père. Éduqué dans les meilleures écoles de Paris, il se passionne rapidement pour la poésie et la littérature.
En 1857, il publie "Les Fleurs du mal", un recueil de poèmes qui fait scandale et qui sera censuré pour outrage aux bonnes mœurs. Baudelaire était également critique d'art et traducteur, ayant notamment traduit les œuvres d'Edgar Allan Poe. Sa vie a été marquée par des difficultés financières, des relations tumultueuses et des addictions.
Aujourd'hui, Baudelaire est considéré comme l'un des plus grands poètes français de tous les temps..
Charles Baudelaire, sa vie, ses lieux de vie
En savoir plus : Charles Baudelaire
Etat civil
-
Né le 9 avril 1821 à Paris (75), décédé le 31 août 1867 à Paris (75)
Profession
Cimetières parisiens
Ses lieux de vie en image
Charles Baudelaire
2, rue Baudelaire à Honfleur - maison disparue -
6, rue Le Regrattier à Paris
15, quai d'Anjou à Paris
17, quai d'Anjou à Paris - plaque -
17, quai d'Anjou à Paris
22, quai de Béthune à Paris
13, rue Hautefeuille à Paris - plaque - emplacement -
27, rue de Seine à Paris
22, rue Saint-André des Arts à Paris
30, rue Saint-André des Arts à Paris
1, rue du Dôme à Paris
Sa sépulture
2, rue Baudelaire à Honfleur - maison disparue -
6, rue Le Regrattier à Paris
15, quai d'Anjou à Paris
17, quai d'Anjou à Paris - plaque -
17, quai d'Anjou à Paris
22, quai de Béthune à Paris
13, rue Hautefeuille à Paris - plaque - emplacement -
27, rue de Seine à Paris
22, rue Saint-André des Arts à Paris
30, rue Saint-André des Arts à Paris
1, rue du Dôme à Paris
Sa sépulture
Crédits images
Photo 1 : Étienne Carjat — Source of original: Gaston Schéfer (ed.), Galerie contemporaine littéraire, artistique (Paris, 1876-84), vol. 3 part 1 British Library: Image; Metadata Domaine public - Photos 2 et 6 : Anciennes cartes postales - Photos 3, 4, 5, 7, 8, 9 et 10, 11 et 13 : Photos Staroad - Photo 12 : Celette — TCC BY-SA 4.0
Ses adresses
6 Rue Le Regrattier, 75004 Paris, France
Demeure : À l'aube de ses 22 ans, Charles Baudelaire prend possession de ce modeste logement où Jeanne Duval, sa muse mulâtresse, et sa mère trouvent refuge. Pendant que l'écrivain s'installe rue d'Anjou à Paris, cet appartement devient le témoin de leur tumultueuse cohabitation. Entre éclats de passion, séparations déchirantes, et douces réconciliations, leurs vies s'entremêlent dans une danse enivrante.
17 Quai D'anjou, 75004 Paris, France
Demeure d'automne 1843 à l'été 1845 au dernier étage sur cour à l'hôtel de Lauzun -
22 Quai De Béthune, 75004 Paris, France
Demeure à l'hôtel Lefebvre de la Malmaison de 1842 à 1843
17 Rue Hautefeuille, 75006 Paris, France
Maison natale - aujourd'hui disparue - Dans les méandres du quartier historique, entre le jardin enchanteur du Luxembourg et les flots scintillants de la Seine, naquit le poète, à l'aube des adieux de Napoléon sur l'île lointaine de Sainte-Hélène. Sous le règne de Louis XVIII, la France, peuplée de 31 millions d'âmes, berçait Paris et ses 750 000 murmures.Là, au 13 de la rue Hautefeuille, se dressait sa demeure natale, une élégante bâtisse à tourelles, témoin d'un passé empreint de douceur. Mais l'élan de la modernité, implacable, rasa les vestiges du passé, engloutissant l'écrin de sa naissance dans le tumulte du boulevard Saint-Germain.
32 Rue Laffitte, 75009 Paris, France
Demeure à l’hôtel de Dunkerque et Folkestone - aujourd'hui disparu -
1 Rue Du Dôme, 75116 Paris, France
Demeure de 1866 à 1867 : Tel un fauve blessé, Charles Baudelaire, l'âme tourmentée des "Fleurs du mal," acheva son voyage en ces lieux d'élégance, à l'ombre de l'illustre Arc de Triomphe. La clinique du docteur Duval, mouroir de souffrance, devint son ultime refuge. L'auteur génial, jadis maître des mots, gisait désormais prisonnier de l'aphasie, l'étreinte cruelle du silence. Sa mère, dans un acte d'amour déchirant, le confina ici, où du juillet 1866 à l'août 1867, il contempla l'écoulement inexorable du temps depuis sa chambre solitaire, en rez-de-chaussée d'un pavillon oublié, à l'orée d'un jardin figé dans l'attente des adieux éternels.
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