Proche des romantiques et tourné vers le théâtre, Alexandre Dumas écrit d'abord un vaudeville à succès et des drames historiques comme Henri III et sa cour (1829), La Tour de Nesle (1832), Kean (1836).
Auteur prolifique, il s'oriente ensuite vers le roman historique tel que la trilogie Les Trois Mousquetaires (1844), Vingt ans après (1845) et Le Vicomte de Bragelonne (1847), ou encore Le Comte de Monte-Cristo (1844-1846), La Reine Margot (1845) et La Dame de Monsoreau (1846).
Un an après son arrivée à Paris, le 27 juillet 1824, c'est la naissance de son fils Alexandre, fruit de sa liaison avec Laure Labay (1793-1868), couturière et sa voisine de palier place des Italiens
En savoir plus : Alexandre Dumas (père)
Né le 24 juillet 1802 à Villers-Cotterêts (02), décédé le 5 décembre 1870 à Puys (76)
Maison natale
Dernière demeure - cénotaphe -
Demeure de 1823 à 1824 : Au 4e étage de cette demeure, l'écrivain Alexandre Dumas (père) résidait modestement au 1, place Boïeldieu, alors nommée place des Italiens. À l'aube de sa gloire littéraire, il servait comme secrétaire du duc d'Orléans, Louis-Philippe. Parmi les résidents du même palier, vivait une discrète couturière nommée Marie Catherine Labay. Leurs destins s'entremêlèrent dans l'ombre, donnant naissance à un fils illégitime, gardé secret pendant sept longues années. Ce fils, devenu l'éminent écrivain de "La Dame aux camélias", Alexandre Dumas fils, sut un jour découvrir la vérité. Ainsi, dans cet immeuble, s'écrivaient les épopées de deux grands noms de la littérature française.
Demeure au pavionn 3 - à hauteur du 80, rue Taitbout
Demeure de 1847 à 1849 : Au cœur des paysages de Port-Marly, se dressait majestueusement le château de Monte-Cristo, demeure légendaire d'Alexandre Dumas père. Tel un refuge pour l'imaginaire, ses murs gardaient les secrets des aventures les plus palpitantes, celles qui prenaient vie sous sa plume fertile. Dans ce havre de tranquillité, l'écrivain trouvait l'inspiration et la quiétude nécessaires à la création de chefs-d'œuvre intemporels. Chaque pièce était imprégnée de son génie, de sa passion dévorante pour les récits captivants.