Il est l'un des compagnons de la première heure de Jean Vilar au Théâtre national populaire et au Festival d'Avignon.
Très tôt, il s'intéresse au dessin et à la peinture. En 1923, il est élève de l’école des Beaux-Arts de Paris.
Encore très jeune, il réalise des décors et dessine des affiches pour le théâtre et le cinéma (en particulier pour La Rue sans joie de Pabst en 1925, Gribiche de Jacques Feyder en 1926)