Fils d'un avoué auprès du tribunal de Pointe-à-Pitre, originaire du Havre, Adolphe Belot est élevé en métropole au collège Sainte-Barbe, avant de faire sa licence à la Faculté de droit de Paris et de s'inscrire en 1854 au tableau des avocats de Nancy.
Belot écrivait de la littérature populaire à caractère, sinon érotique, du moins « coquin », comme Mademoiselle Giraud, ma femme, œuvre originale, bizarre, immorale, selon les uns, morale selon les autres, qui obtint une immense succès de curiosité et un tirage de 33 éditions, soit 66 000 exemplaires (1870).